Illats, France

Les rangs de corps tordus
Dans le blanc du brouillard
Que cisaille le froid
Se moquent de la mort
En attendant l’appel
De l’éternel retour
Pour redonner la vie
Avec l’eau de leurs grains
Dont le blanc coulera
Pour devenir de l’or
Dans les veines des corps
Éveillés par le sang