parsemés sur le lais
qui miroite le ciel, les nuages
et les mauves
dont la strideur du cri
perce le calme plat
laissé par la marée
bigorneaux et clovisses
buccins, clams et couteaux
attendent leur étoile
c’est le moment des fêtes
on consomme des vies
mais advient un bruit sourd
tout un pan de falaise
s’effondre sur le sable
une nuée en émane
tout redevient poussière
les fruits de mer
par chance
échappent à leur destin